"Je n’ai qu’une langue et ce n’est pas la mienne" (*) est un essai de Khaoutar Harchi qui va paraître le 7 septembre à Paris, je ne l’ai donc pas lu. Le présent article préparé et écrit il y a quelques jours, je le dédie à Nabile Farés qui vient de décéder, grand écrivain qui rêvait d’un autre Présent pour sa chère Algérie. Et à travers lui, un hommage à tous ces écrivains algériens qui ont retourné la langue de l’autre contre l’oppression imposée par cet autre.